Des astres. .!
Des astres . . . !
Le Soleil en fin de saison
Ne se perd plus en forêt.
Il se vautre dans mon salon
Et nous éblouit à l’excès.
Fort de son angle d’attaque
Il plaque mon ombre sur le mur.
Et, heureux de cet impact
De ce trompe l’œil trace l’épure.
La Lune, elle, est bien plus discrète
Elle s’amincit pour mieux fêter Noël.
Son halo s’agrippe à ma fenêtre
Une tendre opaline qui m’interpelle.
Ces deux-là ne sont pas fait pour s’entendre
Tout rendez-vous serait problématique.
Qu’une éclipse les réunisse sans attendre
Je vivrai alors une joie. . . cosmique.
Nov 18
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