Ce matin-là. . .
Ce matin- là . . .
Ce matin- là ,
Naissait une saison nouvelle
Et mes premiers pas
Me guidèrent vers la tonnelle.
Les passereaux étaient là
Qui chantaient gaiement,
Sifflaient de plus belle
Leur Hymne au Printemps.
Ce matin - là ,
Le soleil perçait, des halliers
Les feuilles bien timides
Et taquinait la rosée
De la pelouse encore humide.
Les jonquilles, ce matin- là ,
Oscillaient çà et là
Sans autre raison
Que d’attirer les papillons .
Le jardin diffusait subtilement
Les premières senteurs du printemps .
La terrasse doucement s’éveillait
A ce charme qui l’entourait.
Ce matin- là ,
Une « douceur » divine
Ou, pour le moins « angevine » ?
Une infinie douceur
Doucement m’inonda
D’un flot de bonheur .
Ce matin -là . . . . .
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