Le soir venu . . .

  Le soir venu. . .

 

Le soir enfin venu, j’irai tout comme une ombre     

Marcher près du rivage, fouler le sable fin

Une fraîcheur iodée vaincra mes rêves sombres

Au babil de l'eau vive je renaîtrai enfin.

 

Mon âme s’éveillera aux charmes du décor.

Qu’un amour absolu vienne y bercer mon cœur

Je marcherai plus vite, j’irai plus loin encore

Là où les âmes pures n’ont plus aucune peur . . .

 

                                                     Sept 2020

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